On parle souvent de fiscalité, de valorisation des actifs ou de stratégie dans la transmission d’entreprise… mais qu’en est-il de l’humain ? Trop souvent négligée, la dimension psychologique est pourtant au cœur de la réussite de ces opérations sensibles.

Pour le cédant, céder son entreprise, c’est bien plus que vendre un actif : c’est tourner une page de sa vie, se séparer d’un projet porté parfois depuis des décennies, à la sueur de son front et incluant des sacrifices, y compris familiaux.

Pour le repreneur, c’est hériter d’une culture, d’équipes et d’une histoire, avec tout ce que cela implique d’adaptations, de responsabilités et de gestion des émotions.

Quant aux salariés, ils vivent ces changements avec incertitude et questionnements, allant parfois jusqu’à la peur de perdre des acquis ou des habitudes bien ancrées.

Le psychologue du travail intervient pour accompagner ces transitions humaines ou devrais je dire ces transformations. Il aide à libérer la parole, à gérer les résistances et à préserver la qualité du dialogue entre les parties prenantes. Son rôle ? Favoriser une transmission apaisée, sécuriser le climat social, maintenir l’engagement et la motivation des équipes, pour qu’il n’y ait pas de départ de collaborateurs ni de chute de productivité.

Que vous soyez dirigeant, expert-comptable ou consultant RH, n’oubliez pas : la réussite d’une transmission ne se joue pas uniquement sur le plan financier. L’accompagnement psychologique est un levier souvent sous-estimé… mais redoutablement efficace.

A votre écoute, vers une transmission sereine et équilibrée ! Pour échanger et construire ensemble un accompagnement personnalisé : www.yenea.fr / magali.guirriec@yenea.fr