Chaque année, il faut refaire le point car, il faut bien l’admettre, si il y a une réforme qui n’a absolument pas été comprise, c’est bien celle de la journée de solidarité…
Le point avec Florence Bernier Debbabi

Holiworking permet aux salariés en poste de vivre une expérience immersive de 3 à 12 mois dans une destination de rêve, tout en assurant la continuité de leur mission professionnelle en télétravail.

De plus en plus de salariés reviennent d’un arrêt long sans y être vraiment préparés et ne se sentent pas bien réaccueillis.

Toute entreprise qui emploie au minimum un salarié doit mettre en place une prévention des risques professionnels auxquels sont exposés ses salariés. Cela est encadré par le code du travail, qui fixe les règles de l’élaboration du document unique d’évaluation des risques, (DUER ou DUERP) et qui indique que l’employeur a une obligation de sécurité et de santé auprès de ces salariés.

Quand sur le plan international et européen, quelques pays comme la Nouvelle-Zélande, le Japon, le Royaume-Uni, la Belgique ou l’Espagne ont mis en place la semaine de 4 jours, 35% des employeurs en France envisagent de l’expérimenter en 2023.

Commençons par le commencement : On ne doit pas l’appeler mi-temps mais « temps partiel thérapeutique » !

La tentation de ne pas déclarer d’accident du travail est grande lorsque l’employeur estime qu’il n’y a pas de lien avec l’entreprise ou l’activité du salarié.

Dans cette newsletter d’avril, découvrez l’engagement de notre partenaire Bonheur & Performance en matière de qualité de vie au travail et suivez les recommandations de Fabrice Landois de l’Apec sur le recrutement des cadres dans le grand ouest.

Au sommaire de cette première newsletter, retrouvez une interview de Nathalie Gosselin, Présidente de l’ANDRH Finistère, le billet de Yoann Greffier de chez Exergue Conseil sur la marque employeur et un article de l’agence Ideuzo pour vous aider à fidéliser vos collaborateurs.